Petite île à près de 1200 km à l’Est de Tahiti, elle porte aussi le nom Papa-kena, fut dénommée île de Carysford en 1791.
C’est à l’occasion de la recherche des mutinés du Bounty qu’Edwards, en tant que premier européen, en faisait ainsi mention à cette date. En 1850, Tureia comptait une centaine d’habitants, aujourd’hui 3 fois plus nombreux.
La culture du coprah est l’activité économique, de subsistance, essentielle pour ces insulaires. Un aérodrome construit en 1985 participe au désenclavement de l’atoll et au développement du tourisme local.
Vetea SAMG-MOUIT, directeur, et Nadège CHONEL composent à eux deux l’équipe enseignante de l’école de Tureia, fréquentée par plus d’une trentaine d’élèves en moyenne.
P. PETER
Te gutuāfare nui o Tuamotu ē Magareva mā : TUREIA
TUREIA ko Papa-kena katōa tōna igoa, kaore ra Carysford te igoa I horogahia e Edwards I te matahiti 1791 I tōna kimihaga i te haga horomoana nō te BOUNTY.
E 100 tagata e ora nei I te matahiti 1850.
Te pūhā te kimihaga rāvega i reira.
Vetea SAM-MOUIT te fakatere hakapikihaga turuhia mai e Nadège CHONEL.
E rari takau gahuru tamariki hakapikihaga tā rāua e fakariki nei I TUREIA;
Kura Ora tō Tureia.
J. RAGIVARU